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Pour tous les chercheurs de sens et de présence

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Le récit d'une chrétienne ouverte à toutes les sensibilités

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Sept grâces sur le chemin de Compostelle s'adresse à toute femme et tout homme en quête, à tout chercheur de vie spirituelle, écrit frère Benoît Billot dans sa contribution "chemins partagés", en fin d'ouvrage. Je pourrais prolonger : à toutes celles et ceux qui ont soif de sens, qui cherchent à vivre leur vie en conscience et en présence. À mes yeux, certaines des grâces relatées prennent toute leur ampleur dans une interprétation des faits vécus renvoyant au Christ et au "christianisme intérieur" — la voie spirituelle qui est la mienne. Mais elles ne peuvent se réduire à un référentiel religieux qui serait fermé sur lui-même. Bien au contraire. Croyants et non-croyants sont donc conviés au banquet ! Ces quelques lignes du prologue donnent le ton : 

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"Chaque tradition spirituelle est une mine de gemmes pour l’humanité quand elle n’est pas dévoyée. Ces voies nous offrent leurs trésors éblouissants pour nous féconder, selon nos sensibilités et nos besoins personnels. Dans le cas des présents reçus avec Olivier, nos pas s’inscrivaient dans une histoire chrétienne qui n’exclut en rien ces merveilles venues d’ailleurs."

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Une lectrice "sans religion" témoigne

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Le témoignage de l'une de mes premières lectrices m'a confirmé que mon récit pouvait être reçu comme je l'espérais : dans un cœur à cœur simple. Lorsque nous sommes dans le respect de la foi de l'autre ou de son incroyance, rien ne nous empêche de communier ensemble tout en vibrant, chacun, chacune, dans sa tonalité particulière. Telles les cordes d'une guitare qui célèbrent une même harmonie fraternelle. Voici ce qu'elle m'écrivit : 

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"Je lis dans votre témoignage que le Chemin, ceux qui le jalonnent, les aides, les signes que l’on reçoit [...] sont d’une puissance rare et nous invitent à nous pencher sur ce que l’on veut éviter, à nous réconforter quand nous en avons besoin, à nous envoyer de la lumière dans les moments sombres.

Vous mettez en lumière, justement, ces étincelles là, avec la Foi qui est la vôtre. 

Née dans une famille athée très respectueuse de tous les religions, j’ai grandi avec la foi en moi, sans appartenir à une religion constituée et à vous lire, je vois que ces chemins là se rejoignent... [...] 

Le jour même où j’ai terminé la lecture des Sept grâces, j’ai entendu parler d’un cerf qui vagabondait sur le Causse au-dessus de chez moi et de Saint Roch... Cela ne s’invente pas."

Sophie L., lectrice et pèlerine

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Lorsque vous aurez lu Sept grâces, vous comprendrez à quoi fait allusion cette lectrice en évoquant un cerf et Saint Roch. L'on mesure ici, comme en tant d'autres occasions, que des liens invisibles nous relient les uns aux autres, mystérieusement, et nous mènent à ce qui est plus grand que nous.  

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